Faculté pour un État membre d’une organisation internationale de faire obstacle par un vote négatif à une décision qui doit être prise à l’unanimité.

Instance internationale permettant aux États les plus puissants sur le plan économique, y compris les pays émergents, de se concerter sur l’évolution de l’économie mondiale. Les chefs d’État ou de gouvernement du G 20 se sont réunis pour la première fois en 2008.

Organisation internationale qui intervient dans les domaines économique, social, culturel, sanitaire, technique et coordonne son action avec les Nations unies par le biais d’accords négociés. Juridiquement indépendante de l’ONU, elle dispose de budgets séparés et possède ses propres États membres, règles et personnels. 

Langues officielles employées dans le travail courant des organisations internationales (ONU notamment) : traduction des discours, rédaction des procès-verbaux, etc. Par exemple, au sein du Conseil de l’Europe, les langues officielles sont le français et l’anglais.

Opération sans caractère coercitif déployée par le Conseil de sécurité ou l’Assemblée générale des Nations unies en vue d’exercer une influence modératrice sur des éléments antagonistes ou de fournir une aide à une population confrontée à une crise humanitaire. Elles consistent dans l’envoi de missions d’observations chargées de contrôler une situation (respect d’une frontière, d’un cessez-le-feu…) ou de contingents ayant pour mission de s’interposer entre les adversaires et/ou de fournir une aide matérielle (soins, nourriture, etc.).

Ces opérations supposent le consentement des États sur le territoire desquels elles se déroulent.